Notre époque est craintive et énervée. Elle peut tolérer la prolifération des armes, le chômage de masse et même les chansons de I Muvrini … Mais l’utilisation de certains mots, non. Quel néo colonialiste avouerait encore qu’enfant il savourait volontiers « une tête de nègre » ? Quel père à l’implacable machisme sommerait son fils […]